Comme vous l’avez sûrement lu dans les derniers épisodes des Yeux dans les Gueux, vous n’êtes pas sans savoir que les troupes spartakistes ont réalisé un mois de novembre quasi parfait, avec deux victoires et une défaite pour le Spartak 1, et deux victoires pour le Spartak 2. Autant dire qu’on n’est plus là pour rigoler. Bah si, quand même un peu, hein…
À l’aube du mois de décembre, on ressort les bonnets, les gants et les quatre couches de vêtements pour cette double confrontation : Spartak 1 – Lille Cockers d’un côté, Spartak 2 – Emmerin de l’autre. Concentrons-nous sur cette seconde confrontation, pour la simple et bonne raison que j’y ai participé, et que le cerveau humain n’est pas encore capable de suivre deux matches en même temps ! Ne vous en faites pas, on sera bientôt retransmis sur Bein’ de toute façon…
Enfin bref. Il y a toujours du beau monde au Spartak Zwei malgré la cascade de blessures : on pense fort à nos martyrs Omar, Matthieu, Alexis et D’joub, sacrifiés sur l’autel du Spartak. Clément, Marco, JB, Alex, Ben, Val, Quentin et Çenk sont dans la place ! Une jolie troupe qui entame la partie pied au plancher et qui souhaite rester sur sa dynamique de rouleau compresseur, ou de rouleau à pâtisserie, c’est selon. Toujours est-il que les Spartakistes placent leurs premières banderilles, mais butent sur une défense de fer et sur un gardien on fire. Les vingt premières minutes sont donc une succession d’assauts rouges, mais personne n’arrive à casser la piñata…
Heureusement, à force de frapper, ça finit par se fissurer grâce à un bon travail de JB conclu en force par Clément, pour un but 100 % breton ! 1–0. Pas rassasiés pour un sou, les rouges lancent de nouvelles vagues… Mais à force de frapper sur le gardien, bah le gardien il prend des coups, forcément. Saluons la vaillance du gardien emmerinois dont la cheville a fini par céder, accordons d’ailleurs une minute de silence…
Pendant ce temps là, la mi-temps est passée, et de l’autre côté du Mont de Terre le Spartak 1 semble dresser les Cockers (3–0 me dit-on à l’oreillette) !
On reprend donc à 6 contre 6 suite aux mésaventures de nos hôtes d’un soir. Changement de gardien également côté Spartakiste, puisque c’est Val qui prend la place de Quentin dans les cages, qui part donc gambader sur le pré mont-de-terrois. Malgré une petite frayeur sur une contre-attaque, l’armée rouge reprend dès lors son offensive, et c’est l’homme en forme du moment, Beninho de Tourmignieiro, qui renvoie sous la barre un ballon mal dégagé par la défense, d’une demi-volée imparable ! 2–0.
Ça y est, l’avion Air Spartak II a pris son envol ! Et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : et qui d’autre que l’inévitable Ben pour larguer une frappe stratosphérique dans les buts ! 20 mètres d’après la police, 80 d’après les organisateurs, 150 d’après le buteur… Laissons planer le mystère, et quoi qu’il en soit ça fait 3–0 et notre président semble nous révéler ses qualités de finisseur hors pair… L’Air Spartak II a donc pris de l’altitude et bombarde le but adverse sans vergogne, à l’image de Clément, excentré sur la droite, dont le centre-tir trompe le gardien, et c’est le doublé pour notre gentil géant breton ! 4–0, c’est la débandade comme le diraient les commentateurs de FIFA…
C’est un véritablement bombardement sur le Pearl Harbor emmerinois ! (Oui, il y a beaucoup d’envolées lyriques et de points d’exclamation, mais ça n’arrive pas tous les jours de commenter ce genre de matchs, alors on se lâche un peu…). La Spartak Air Force est tout bonnement inarrêtable en ce moment on dirait, et cette fois c’est JB le maestro au bonnet bleu qui prend les commandes du ballon pour fixer le malheureux gardien à bout portant, une cinquième fois dans cette partie ! 5–0 mesdames et messieurs, CINQ À ZÉRO ! Pas la peine de vous pincer, vous ne rêvez pas (à moins que vous ne vous soyez endormis sur ce résumé, auquel cas j’essaierai de revoir mon style…).
« Cours Attaquant d’Emmerin ! Cours ! »
Bon, il fallait aussi un peu de relâchement et le Spartak finit par encaisser son but habituel, par l’attaquant emmerinois lancé à l’aventure au milieu des troupes assaillantes : Un centre-tir lobé astucieux, et ça fait 5–1 et un but mérité pour les visiteurs du soir. Tant pis pour le « clean sheet », mais au moins ça pimente un peu la fin de partie…
Pas très contents, les Cockers…
Du piment ? Justement, il y en a sur le match d’à côté, où les Cockers sont devenus pitbulls (un peu trop peut-être) et ont recollé à 4–4 à coups de pénaltys litigieux.
On revient à Spartak 2 – Emmerin, où sur le banc, on taquine le gardien Val qui se livre à quelques sorties, tandis qu’on rit allègrement des dernières occasions ratées des Spartakistes, qui mettent fin au bombardement. C’est donc sur une ambiance tout à fait bon enfant que nous quittons nos compères emmerinois, qui se sont montrés exemplaires dans l’esprit et dans le jeu !
Encore une fois une soirée presque gagnante sur tous les points pour les troupes spartakistes, avec un nul et une victoire et à la clé ! Et ça recommence dès ce lundi soir (EDIT : c’était hier !) avec la Team Spartak 1 qui se déplace sur le synthétique impeccable de Lezennes, alors que la Team Spartak 2 reçoit La Madeleine dans son bon vieux Chaudron !
En ce lundi 22 septembre, le Spartak a vu double dans son cher chaudron : tandis que le Spartak 1 se frottait à une valeureuse équipe de Lille CUDL, le Spartak 2 affrontait Lille ESU lors de ce multiplex inédit. Un double spectacle pour les quelques supporters présents dans les travées. Buts, bière et suspense : une plongée fascinante dans le monde du Spartak présentée par Bernard de la Villardière, à vivre en compagnie de nos deux gardiens du soir, Val et D’joub.
Spartak 1 – Lille CUDL : « Il faut souffrir pour être Spartakiste… »
Du beau monde sur le pré du Mont de Terre…
En cette soirée de premières, j’ai l’honneur aujourd’hui de rédiger le tout premier résumé de match publié en simultané sur le site du Spartak et sur celui du District Flandres Foot loisir, alors je vais essayer de m’appliquer. Pas de blagues foireuses et autres jeux de mots pourris, promis, on essaie de chasser les vieux démons pour cette fois. Cette fois je laisse l’initiative des blagues au chef D’joub qui commentera le second match…
Oliver Kahn est dans la place !
En tout cas, le Spartak « 1 » est prêt à attaquer le premier match de championnat au terrain du Mont de Terre. Au démarrage, l’équipe se montre entreprenante mais bute sur un bon bloc CUDListe. On part sur des bases très équilibrées, on s’observe. Depuis ses buts, entre deux sorties, Val le gardien d’un soir (ndlr : je parlerai de moi à la troisième personne, ça fait plus pro…) assiste à la bataille du Mont de Terre du Milieu. Reste à savoir qui sera le premier à cligner de l’œil…
Pénalty, la concentration du tireur !
Eh bien on y vient. Au bout de dix minutes, un centre vicieux vient dire bonjour au bras d’Adrien L., le penalty est cruel mais logique. En bon Oliver Kahn, même s’il a fini par enlever sa casquette, Val plonge du bon côté mais ça ne suffit pas (1–0). Un coup du sort qui a le mérite de sonner la révolte des fougueux cavaliers blancs (à défaut d’avoir du bol, on peut faire des hyperboles…). Quelques minutes plus tard, c’est Étienne qui arrive au galop et dégaine en reprenant une balle en retrait face au but (1–1).
Dans la foulée, Benji (à ne pas confondre avec Ben, notre président qui gambade allègrement sur l’autre demi-terrain avec le Spartak 2, dont je tairai le score pour garder le suspense) donne l’avantage aux siens à la conclusion d’un mouvement collectif ! 2–1 donc, le duel serait-il en train te tourner en faveur des Spartakistes ? La défense tient sans être réellement prise à défaut, mais l’adversaire veille au grain et attend son heure de gloire. Et la CUDL n’a pas dû attendre longtemps pour qu’un corner coupé au premier poteau, certains diront « à la Cavani », se loge au ras du poteau (2–2).
Après 20 minutes de jeu, le Spartak ne veut pas de ce score nul et reprend son pressing sur l’adversaire pour le pousser à la faute. une tactique rapidement gagnante et validée par un but d’Adrien L. à ras de terre (3–2). Mais l’adversaire est coriace, on dirait qu’ils ne veulent pas nous laisser gagner, incompréhensible… Allez, on est les champions du fair-play, laissez-nous gagner en paix ! Il faut croire que c’est peut-être trop demander puisque l’égalisation intervient assez rapidement sur un deux-contre-un face au gardien (3–3). Heureusement que le Spartak a pris la bonne habitude de réagir rapidement en cette première-mi-temps… Et cette fois c’est Matt le hargneux qui prend les clés du camion, déborde à droite, centre… et marque on ne sait trop comment, mais on prend. 4–3 à la mi-temps, le Spartak fait mieux que tenir bon !
La CUDL, solidaire et populaire !
Allez, hop, changement de côté. On se ressaisit, et c’est reparti sur les mêmes bases… Enfin presque, puisque la CUDL a clairement changé de tactique en laissant l’initiative du jeu aux Spartakistes, pour mieux rejaillir en contre. Tapis dans l’ombre, ils attendent une faiblesse spartakiste pour bondir sur leur proie. Autant dire qu’il va falloir se montrer vigilant dans la pénombre du Mont de Terre. Le stratagème se met en place, tandis que les offensives spartakistes sont tuées dans l’œuf. Et la CUDL attend que le monde change. Elle attend que changent les temps. Elle attend que ce monde étrange, se perde et que tournent les vents. Inexorablement elle attend… Et c’est Jean-Jacques Goldman qui annonce l’égalisation jaune,sur un contre rondement mené (4–4).
Et là, fini de rire, la CUDL n’est pas venue pour enfiler des perles. La défense ne laisse plus rien passer et devant, ça part très vite en contre. C’est le moment pour Val de jouer son rôle dans la tragédie et de procéder à son propre sacrifice pour défendre le but spartakiste. Sur un missile d’un attaquant jaune, Oliver Kahn se met en opposition pour aller à la rencontre du ballon. Mais ce ballon est plutôt vicieux et s’écrase « là où il ne faut pas ». Oui, là où ça fait vraiment mal, vous voyez bien où je veux en venir. Résultat, KO, on change de gardien le temps que la victime expiatoire reprenne ses esprits.
C’est donc Adrien C. qui occupe temporairement les cages. La maîtrise des joueurs adverses fait avorter foutes les offensives spartakistes. Un nouveau contre suivi d’un cafouillage donne l’avantage à la CUDL (4–5). Allez, c’est pas grave, en un quart d’heure il est toujours possible de revenir, dira-t-on, les supporters sont là pour nous transcender (une petite dizaine mais c’est déjà ça…) ! D’ailleurs votre gardien va mieux (merci de vous être inquiétés pour moi) et reprend son poste. Malheureusement, c’est pour mieux assister à la prise de pouvoir de la CUDL. Un sixième, un septième, un huitième, puis un neuvième, quatre contres fulgurants qui se logent dans les filets en l’espace de quelques minutes (4–9). Le Mont de Terre assiste à un véritable remake des six minutes folles de la demi-finale de Coupe du monde Brésil-Allemagne, sauf que cette fois c’est la Mannschaft qui est en jaune et le gardien était quand même meilleur que Julio Cesar, on va pas se leurrer.
Bon, il reste 10 minutes à peine, la messe est dite mais le déluge est passé. C’est le moment pour le Spartak de repartir en croisade. Mais la Terre sainte ne veut pas se montrer, ça ne veut vraiment plus… Heureusement, c’est la même chose de l’autre côté, la défense tient et votre deuxième gardien préféré après D’joub arrête ce qui passe. On ne finira pas sur un score à deux chiffres, c’est déjà ça.
Un premier match de championnat difficile, même douloureux parfois (et je peux en attester), face à une belle et sympathique opposition. Le tout dans le même esprit de convivialité qui nous fait tant aimer ces matchs de foot loisir, même dans la défaite, mais promis on règle ça rapidement. Et pourquoi pas dès lundi prochain sur ce même chaudron du Mont de Terre, avec une marée de supporters en délire pour accueillir Ch’ti Tongolo !
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Spartak 2 – Lille ESU : « Petit Spartak deviendra Grand »
Photo de famille d’après-match. À noter le subtil échange de maillots entre Ben et D’joub…
Le Spartak 2, nouveau venu cette année dans la galaxie Spartak, disputait le premier match de championnat de son histoire, oui de son HISTOIRE. Et quoi de mieux que de fouler le Mont de Terre pour marquer le coup, qui plus est, en même temps que leurs grands frères de « lékipune » évoluant sur le terrain d’à côté. « La 2 » ou « antenne deux » comme dirait ma mamie, se devait de faire oublier son humiliation de la semaine passée en coupe. Face à eux, messieurs dames, l’ESUL, inconnu au bataillon. Mon éthique journalistique m’a bien poussé à mener une investigation sur place, mais j’ai pas bien pigé et j ne préfère pas dire de conneries. J’ai mis Lolo Delahousse sur le coup. Peu importe, on y va pour ce match hi-sto-rique !
Quel moment insolite au Mont de Terre ! Deux matchs pour le prix d’un et en simultané s’il vous plait, c’est ce qu’on appelle dans le milieu « un multiplex grandeur nature ». Canal + peut bien aller se rhabiller. Et les quelques supporters présents sont aux anges, laissant transparaître (de manière décente) leur excitation…
A noter quelques légers changements dans l’équipe 2 par rapport à la raclée précédente avec le renfort de vieux routards Quentin, Ben et Marco venus mettre de l’ordre dans la maison. Pour l’occasion, le Spartak a revêtu les maillots de ses premiers émois, de ses premiers amours, l’émoustillant maillot rouge amouuuuuuurrr.
« Hé les mecs, j’ai pondu un ballon ! »
Le match peut commencer, et très vite le Spartak met le pied sur le ballon, ce qui n’est pas très pratique pour jouer, mais c’est une image, donc je m’adapte j’utilise le jargon moi hein ! Rapidement sur une belle montée de balle, Mathieu va déclencher une frappe anodine, qui va tout de même surprendre le gardien au bénéfice d’un rebond béni des taupes. Bah ouais les gars le Mont de Terre on le connait dans toute sa faune et sa flore, y compris ses taupes modèles ! (1-0)(je rappelle que le best of très arbitraire des blagues est en gras pour ceux qui s’en foutent du match). L’UEFA accorde bel et bien le but à Mathieu, au grand désespoir de René la Taupe qui semblait avoir détourné le ballon, et qui est SI MIGNON !
Décidément bien en jambe en ce Lundi soir, nos Spartakistes réservistes semblent bien sortis de leur réserve et continuent à se balader. En même temps c’était les journées du patrimoine, et au risque d’être lourd, le Mont de Terre c’est du patrimoine les enfants !
Bref je cause je cause mais pendant ce temps, Ben vient d’ajouter un deuxième but après des mouvements dignes d’une équipe 1. (2-0)
Derrière, le match est assez paisible pour D’joub Dj’oub qui en profite pour galvaniser les copains de la une, qui semblent malmenés. Je n’en dis pas plus.
Sur leur lancée, les rouges se créent des belles occasions et à force de persévérance ils vont aggraver la marque. Sur un centre somptueux de Jibé, Quentin reprend la balle au 2e poteau et vient tromper le gardien. (3-0). L’ESUL se crée quelques occasions mais la défense emmenée par Omar et Cenk est intraitable, et D’joub s’offre une ou deux claquettes histoire de pas perdre la main.
Décidément c’est un bien beau baptême que s’offre l’équipe 2, qui se regroupe tranquillement à la mi-temps et savoure sa première mi-temps.
Pourtant, le match va prendre une toute autre tournure. L’ESUL est remontée comme une pendule, décidée à ne pas être ridicule, elle charge la mule, le Spartak recule, on sent que la rencontre bascule, l’adversaire nous accule, Spartak ça chauffe pour ton matricule… Et on arrête là pour les rimes en –ule, au risque de s’aventurer vers des cavités incertaines et périlleuses.
L’ESUL est donc super vénère, et dès les premières minutes ils débloquent leur compteur sans aide de l’EDF (électricité de France pas équipe de France). (3-1). Et ils ne vont pas s’arrêter là. La pression est forte sur la défense du Spartak, ça s’emmêle les crampons pendant que les attaquants « ésuléens » batifolent dans la surface. Et bim, une de plus. (3-2) D’joub D’joub pas content. D’joub très colère, D’joub crier fort. AgrougrrrouuuuuMMMM !!! D’autant que l’égali-gali-sation est toute proche sur une tête qui vient gentiment lécher la base du poteau.
Le duo infernal dit : « le 1026 »
C’est le moment de réagir ! L’ESUL est « ézulfflé » par tant d’efforts. Plutôt que de leur filer la ventoline, le « Spartakeudeux » va enfumer un peu plus le poumon adverse jusqu’à l’asphyxie. La première bouffée va être crachée par Quentin. Il nous fait une chevauchée champêtre dite « chevauchée des vaches kiri » en galopant dans les quatre coins du terrain puis vient achever le gardien à bout portant. Un magnifique doublé pour notre Quentin le Matt, ou Kouentine Le Matador comme on l’appelle en Catalougna (4-2). Quelques minutes plus tard Mathieu va l’imiter et venir lui aussi inscrire un magnifique doublé, ce qui fait de lui le meilleur de l’équipe 2, avec trois buts au compteur. On l’applaudit bien fort. (5-2)
La belle régalade ne va pas s’arrêter là. Marco va offrir le premier set aux spartakistes sur une balle de break digne de la « coupe des vices » après avoir effacé le gardien, il SE retrouve seul face à l’immensité du but et pousse délicatement la balle dans les filets. 1er set Spartak (6-2)
L’ESUL se bouffe les cuticules, ça sent le crépuscule, ça pique les rotules, le Spartak n’a pas de scrupules et va même profiter dernier but cadeau. Sur une frappe mignonette, le gardien relâche le ballon, et Cenk ne va pas se faire prier pour envoyer les siens au 7ème ciel. (7-2). SCORE FINAL ! Merci aux joueur de l’ESUL absolument irréprochables, longue vie à vous ! Les premiers pas dans le championnat sont donc des pas de danse et de joie. Les champions ont pu se laisser aller à la 1ere serpillère de l’année, cette figure acrobatique qui consiste à courir en ligne et à plonger lamentablement sur l’herbe, mettant en rage la personne de corvée de lavage.
La semaine prochaine, rebelote au Mont de Terre pour affronter « Tourcoing Blanc Seau », même heure, même lieu.
Vive le Spartak une fois, deux fois adjugé, vive la vache kiri et vive le Mont de Terre-brûlé-au-vent-des-landes-de-pierre-autour-des-lacs-c’est-pour-les-vivants-un-peu-d’enfer-au-SPARTAK LILOIS !
Val et D’joub D’joub
C’est trop la teuf au Mont de Terre !
En bonus vidéo, la première serpillère spartakiste de la saison